croquis de vacances et passage par L’ Ardèche et Vallon Pont d’arc…
Dessin au crayon graphite sur papier
Un exercice que j’aime pratiquer pendant les vacances…
Besoin de peu de matériel glissé dans une valise: crayon de bois, gomme, boite d’aquarelle, un stylo bic noir (eh oui ! pas mal pour rehausser quelques dessins esquissés au sépia) et du papier …
Croquis de la face arrière de la Cathédrale de Brioude (43), crayon bic noir et encre sépia
Croquis de la Halle aux grains de Brioude, 2013
Village d’Auzay en Vendée
L’intérêt du croquis est de saisir la composition générale de l’endroit, son ambiance sans s’appesantir sur les détails.
Un bon croquis ne doit pas durer plus d’une demie-heure !
Instaurées en 2011 par le site A little Market avec le soutien de sa communauté de créateurs, l’événement « Les Journées du Fait Main« est devenu le rendez-vous annuel incontournable dédié à la création et au savoir-faire français.
Depuis maintenant 6 ans, cet événement qui se déroule partout en France de manière simultanée offre aux créateurs de la communauté d’a little Market l’occasion d’organiser des expo-ventes, des ateliers créatifs ou encore des démonstrations de leur savoir-faire au sein même de leur région avec le soutien du site (guides, mises en relation entre créateurs organisateurs et créateurs exposants, communication, supports, goodies…).
Ce qui en fait à la fois un événement local et national
Les objectifs :
Valoriser la création et l’artisanatfrançais
À travers une manifestation ayant à la fois, une envergure nationale mais aussi locale
Sensibiliser aux différents savoir-faire
En permettant aux visiteurs de découvrir des créations uniques et originales près de chez eux
Créer des échanges et des rencontres
Entre créateurs locaux afin d’encourager les initiatives et ainsi favoriser la création de liens
Lancée en 2008 par Nicolas Cohen et Nicolas d’Audiffret, A little Market est la première plateforme française qui permet à des centaines de milliers d’artisans/créateurs français de vendre leurs créations 100% faites à la main. Le site propose ainsi aux acheteurs de trouver des millions de produits Made in Région en quelques clics.
A little Market, c’est surtout une communauté de créateurs passionnés et impliqués au quotidien dans la vie du site, proposant des créations dans plusieurs catégories : prêt-à-porter, bijoux, accessoires, déco et art (homme, femme, enfant, bébé).
Leur mission
Construire une économie plus humaine en aidant les « petits » créateurs locaux à développer leur activité en les connectant à leurs clients. Leurs objectifs
Valoriser les savoir-faire – Défendre l’entrepreneuriat.
Ses feuilles constituent un beau motif décoratif !
La feuille de ginkgo biloba m’a beaucoup inspirée en peinture !
Voici le fruit de ma créativité !
Avec le goût pour le collage de papier journal et l’usage de la peinture à l’huile ou acrylique selon les toiles !
C’est un thème sur lequel mes élèves ont déjà travaillé !
Le Ginkgo biloba est un arbre originaire de Chine, et qui a des origines très anciennes.Il est très rustique.
Sa longévité est exceptionnelle : dans son milieu naturel d’origine, il peut vivre 4000 ans. Il est extraordinairement résistant : pollution (il est ainsi très utilisé en ville), maladies, parasites, rien ne l’inquiète ; un Gingko biloba a d’ailleurs survécu à la bombe atomique d’Hiroshima, alors que toute autre forme de vie alentour avait été détruite.
Le nom d’« arbre aux mille écus » est aussi expliqué par l’aspect de ses feuilles qui deviennent jaunes dorées à l’automne et forment comme un tapis d’or à ses pieds.
L’aquarelle se prête facilement à différents styles.
Facilement transportable, et riche d’effets potentiels, j’aime l’emmener en vacances ou en week end, pour des petits croquis d’architecture par exemple…
Quand j’ai un peu plus de temps, je me penche sur une nature morte ou un bouquet de fleurs…
Les enfants peuvent aussi pratiquer l’aquarelle de manière ludique, comme ci-dessus:
Couleurs d’automne, huile sur toile et collage de papier journal
La feuille de ginkgo biloba m’a beaucoup inspirée en peinture ! J’aime beaucoup sa forme, et comme la nature m’inspire beaucoup…
En automne, elle devient d’un jaune éclatant !
Voici le fruit de ma créativité !
Avec le goût pour le collage de papier journal et l’usage de la peinture à l’huile ou acrylique selon les toiles !
Feuilles de ginkgo biloba, huile sur toile
Les effets foncés autour des feuilles ont été réalisés à la peinture à l’huile plus ou moins diluée au white spirit (pour obtenir le degré de transparence recherché) au brun VanDyck
Souffle dans les feuilles et vent d’automne acrylique et collage de papier journal sur toile
J’ai réalisé cette fresque à la peinture acryliquesur la porte d’une chambre d’enfant, un grand garçon, fan du film d’animation avec les célèbres personnages en pâte à modeler !
C’est incontestablement auXIXèmeque la fabrication du papier s’industrialise avec l’invention de la première machine à papier en continu de Louis Nicolas Robert (1761- 1828). L’alimentation en pâte est alors faite en continu et le papier sort en bobine. En moins de vingt-cinq ans, l’ingénieur Bryan Donkin perfectionne « sa » machine (pas moins de 40 modèles différents). Vers 1825, les papetiers s’équipent en Europe et aux États-Unis : la machine est copiée, imitée.
Vers 1850 apparaît la première machine à fabriquer le carton multicouches. À la même époque, on dénombre plus de 300 machines en Angleterre, près de 250 en France et presque autant en Allemagne. Chacun de ces engins, quoique très étroit et très lent comparé aux machines modernes, était capable d’assurer la production de dix cuves traditionnelles desservies à la main.
La première machine à onduler française est installée en 1888 dans le Limousin. La marine à voile, grosse utilisatrice de chanvre (cordages et voiles) est remplacée progressivement par la marine à vapeur. La production de chanvre ralentit et celui-ci devient rare et cher.
Des difficultés d’approvisionnement en chiffon se font sentir et l’industrie cherche de nouvelles matières premières.
Le bois commence progressivement à remplacer le chanvre.
La deuxième moitié du XIXe siècleest marquée par le recours à la chimie.
Anselme Payen
Les travaux du Français Anselme Payenmontrent que dans toute matièrevégétale existe une substance blanche et fibreuse, la cellulose, et qu’il est possible de la récupérer par des réactions chimiques. Ces découvertes permettent d’obtenir des fibres de meilleure qualité et donc d’augmenter les vitesses de production.
En 1937, aux États-Unis, le Marihuana Tax Act, une taxe pour lutter contre la production de drogue à partir du cannabis, sonne le glas du chanvreen papeterie. Il ne sera alors plus utilisé que pour les billets et le papier à cigarette. Les États-Unis deviendront rapidement le premier producteur de papier, majoritairement forestier, et le sont encore de nos jours, largement devant laChine, le second (80,8 contre 37,9 millions de tonnes). L’industrialisation lourde est alors lancée. En 1908, la plus grosse machine a une laize (largeur) de 4,30 mètres et roule à 165 m/min. En 1910 la vitesse de 200 m/min est franchie. En 1935, la plus grosse machine fait 8,15 m de laize et tourne à 425 m/min. Le cap des 1 000 m/min est franchi en 1958. En 2000, la vitesse de 1 800 m/min est atteinte pour la fabrication du papier journal. Actuellement, les machines font jusqu’à 10 mètres de laize et tournent à près de 2 000 m/min.
XXIe siècle
Au début du XXIe siècle, les problèmes écologiques, liés à la déforestation, à des problèmes quantitatifs et qualitatifs de gestion de l’eau et à la raréfaction de nombreuses ressources, poussent au retour au-devant de la scène des méthodes de recyclage ainsi qu’au retour progressif de la production de plantes à fibres à pousse rapide et écologique comme le chanvre ou le lin.
Source du papier : le bois des forêts
Le papier des livres était fabriqué traditionnellement à partir de bois de trituration issu de feuillus et de résineux. Ce bois pouvait provenir de coupes d’éclaircies faites dans la forêt, ou de déchets de scierie.
Mais la quantité de fibres produites n’est actuellement plus suffisante pour répondre à la demande croissante de papier et des forêts primaires sont détruites au Brésil, en Chine, en Indonésie pour être remplacées par des plantations d’eucalyptus, une essence à croissance rapide, fournissant un papier de qualité pour l’édition. Avec elles, ce sont de nombreuses espèces végétales et animales qui disparaissent : l’orang outang, l’éléphant, le rhinocéros et le tigre de Sumatra en Asie du Sud-Est…
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Cours de dessin, peinture, mosaïque et techniques créatives dans une ambiance conviviale et bucolique !