Moi, j’ai utilisé les pages d’un vieux calendrier illustré…
– d’un ordinateur pour imprimer les différents mois de l’année
– de papier blanc
– de feutres, gel paillette et autres accessoires de décoration
– de ciseaux et colle
– de petits accessoires pour créer les différents chiffres de l’année à venir. Laissez aller votre imagination, ex: un bouton pour le chiffre zéro !
Pour chaque mois de l’année, les enfants ont imaginé une forme (incluant les dates) en rapport avec le mois.
Je vous explique tout de suite !! exemple: un flocon pour janvier, une fraise pour juin ou juillet, un champignon pour novembre, et un gâteau d’anniversaire pour leur mois de naissance !!
Je suis très fière que mon calendrier de l’avent « récup » ait été choisi par le magazine créative pour être publié dans le numéro de décembre « comment préparer Noël »
Alors à vous de jouer maintenant !
Ne jetez plus vos rouleaux de sopalin, papier toilette, vos petites bouteilles en plastique et autres petits pots !
Un couple de collectionneurs américains Spencer et Marlene Hays va donner son importante collection d’œuvres d’art dont des Bonnard et des Vuillard à la France,
« Cette donation exceptionnelle par sa taille et sa cohérence est la plus importante que les musées français aient reçue d’un donateur étranger depuis 1945 », a indiqué le ministère de la Culture.
Les œuvres rejoindront le musée d’Orsay au décès des collectionneurs. Le musée leur consacrera un espace dédié.La collection de Spencer et Marlene Hays comprend quelque 600 oeuvres de la seconde moitié du XIXème siècle et de la première moitié du XXème siècle.
Une collection inaliénable en France
Pourquoi faire dons de ces œuvres à la France plutôt qu’aux États-Unis ?
» Il y a un règlement en France qui a certainement été déterminant : c’est l’inaliénabilité des collections de l’État, c’est-à-dire l’impossibilité de refondre les collections, contrairement aux musées américains qui eux peuvent se dessaisir de leurs œuvres et les revendre« , explique Isabelle Cahn, la conservatrice en chef du musée d’Orsay.
De fait, le couple a posé comme condition à sa donation que la collection, qui a sa cohérence, soit présentée dans un espace dédié. « Nous allons donc déménager la bibliothèque et la documentation du musée qui rejoindront sur 900 m2 environ un bâtiment annexe appartenant à l’Etat« , a déclaré Guy Cogeval, le président du musée d’Orsay qui connaît le couple depuis 2001.
Des autodidactes amoureux de Paris
D’origine texane, le riche homme d’affaires et son épouse sont des autodidactes, amoureux de Paris et de la peinture française de la fin du XIXe et du début XXe.
En plus de trente ans, ils ont bâti une collection autour, notamment, des peintres nabis qu’ils avaient dévoilée en 2013 au musée d’Orsay dans le cadre d’une exposition. Les 187 œuvres (peintures, papiers, sculptures) données samedi sont celles qui étaient exposées à cette occasion: 23 Vuillard, 12 Bonnard, 4 Maurice Denis. Outre les nabis, il y a aussi des œuvres d’Odilon Redon, Edgar Degas, Gustave Caillebotte, Camille Corot, Aristide Maillol, Amedeo Modigliani, Albert Marquet…
Que vous soyez fier comme un coq
> Fort comme un bœuf
> Têtu comme un âne
> Malin comme un singe
> Ou simplement un chaud lapin
> Vous êtes tous, un jour ou l’autre
> Devenu chèvre pour une caille aux yeux de biche
> Vous arrivez à votre premier rendez-vous
> Fier comme un paon
> Et frais comme un gardon
> Et là … Pas un chat !
> Vous faites le pied de grue
> Vous demandant si cette bécasse vous a réellement posé un lapin
> Il y a anguille sous roche
> Et pourtant le bouc émissaire qui vous a obtenu ce rancard
> La tête de linotte avec qui vous êtes copain comme cochon
> Vous l’a certifié > Cette poule a du chien
> Une vraie panthère !
> C’est sûr, vous serez un crapaud mort d’amour
> Mais tout de même, elle vous traite comme un chien
> Vous êtes prêt à gueuler comme un putois > Quand finalement la fine mouche arrive
> Bon, vous vous dites que dix minutes de retard
> Il n’y a pas de quoi casser trois pattes à un canard
> Sauf que la fameuse souris
> Malgré son cou de cygne et sa crinière de lion
> Est en fait aussi plate qu’une limande
> Myope comme une taupe
> Elle souffle comme un phoque
> Et rit comme une baleine
> Une vraie peau de vache, quoi !
> Et vous, vous êtes fait comme un rat
> Vous roulez des yeux de merlan frit
> Vous êtes rouge comme une écrevisse
> Mais vous restez muet comme une carpe
> Elle essaie bien de vous tirer les vers du nez
> Mais vous sautez du coq à l’âne
> Et finissez par noyer le poisson
> Vous avez le cafard
> L’envie vous prend de pleurer comme un veau
> (ou de verser des larmes de crocodile, c’est selon)
> Vous finissez par prendre le taureau par les cornes > Et vous inventer une fièvre de cheval
> Qui vous permet de filer comme un lièvre
> C’est pas que vous êtes une poule mouillée
> Vous ne voulez pas être le dindon de la farce
> Vous avez beau être doux comme un agneau
> Sous vos airs d’ours mal léché
> Faut pas vous prendre pour un pigeon
> Car vous pourriez devenir le loup dans la bergerie
> Et puis, ç’aurait servi à quoi
> De se regarder comme des chiens de faïence
> Après tout, revenons à nos moutons
> Vous avez maintenant une faim de loup
> L’envie de dormir comme un loir
– Récupération de coton, lin et chanvre sous forme de chiffons (dès le XIVème siècle, on porte du linge de corps). La cellulose a été filée, tissée, portée, usée, reportée, relavée et donc assouplie.
– Le chiffon est lavé, trié, nettoyé de ses impuretés au pourrissoir ou des enzymes gloutons le débarrasseront de sa crasse.
– Le chiffon est ensuite broyé, mouillé par des maillets armés d’une mâchoire d’acier ; puis broyage affiné par des maillets de bois. Le tout environ pendant 36 heures ; on ajoute la colle
lors des 12 dernières heures, dès la fin du XVIIème siècle.
– La mécanique des piles à maillets est entraînée par la roue à aube.
La pâte est mélangée à l’eau tiédie de la cuve, brassée à l’aide du redable. Elle sera recueillie par l’ouvreur, et déposé
par le coucheur sur un feutre de laine…
« La forme » (tamis) est un outil utilisé à la cuve par les compagnons
papetiers, l’ouvreur et le coucheur qui surveille ce monde de compagnons en l’absence du maître –papetier parti chercher des clients à Lyon, à Paris, à la cours : le contremaître autrefois appelé gouverneur *
Le filigrane (marque de papetier) est un fil de laiton cousu sur le tamis, qui retire un manque d’épaisseur à la pâte et se retrouve par transparence au trait, en clair.
Fabrication du papier avec du bois: prochain article
La transmission du secret de fabrication du papier par les chinois
s’effectue lentement.
Les arabes n’entrent en possession de celui-ci qu’après la bataille de SAMARKAND en 751 ap. JC.
Cette capitale étant au carrefour des routes de la soie et déjà centre de production de tissus de lin (filatures) va privilégier l’utilisation de cette matière première plus cellulosique.
La conquête islamique propage cette technique jusqu’à FEZ au Maroc (70 fabriques au XII ème siècle) puis en Espagne. Javita au sud de Valence s’affirme également dès le XIIème siècle. Cette papeterie continuera à fonctionner même après la reconquête des rois
catholiques et bénéficiera de la protection des souverains d’Aragon. Les papetiers de l’époque seront des Juifs non privés de leur bien à cause de leur savoir.
Il faut attendre le XIIIème siècle
pour que les moulins à papier apparaissent en
Occident chrétien, d’abord en Italie (Palerme, Fabriano, Gênes) puis le XIVème siècle en France : à Troyes d’abord puis en Vaucluse, Auvergne, Île de France, Angoumois.
Beaucoup de légendes font remonter l’introduction en Occident Chrétien à la suite des Croisades (Auvergne – Beaujolais)
C’est la naissance de l’imprimerie au milieu du XVème siècle qui jouera le rôle de déclencheur et de développement.
Le papier est un support de l’écriture, du dessin et de l’imprimerie, constitué de
fibres de cellulose diluées dans l’eau et recueillies par un tamis
Les premiers fabricants de
papier sont les insectes :
les guêpes.
Elles arrachent les fibres de vieux bois, des fragments de feuilles sèches, des débris de végétaux
qui, mélangés à leur salive, produit
une matière avec laquelle elles construisent
les rayons et l’enveloppe de leur nid.
Certains nids
accrochés au branche d’un
arbre ou sous les solives d’un toit
sont impressionnants par leur taille.
1/ Les différents supports utilisés p r les hommes avant l’invention du papier
Avant que le papier ne soit utilisé par
les hommes, quels autres supports ingénieux , ont-ils utilisés pour fixer leurs dessins, leurs gravures, leurs pictogrammes
puis leur écriture ?
Ces supports ont été des plus variés, en voici quelques uns :
2/ L’invention du papier
Les inventeurs du papier seront chinois. Les rouleaux de bambous sont trop encombrants. Les rouleaux de soie trop coûteux.
Est-ce par l’observation du travail des guêpes dites « papetières »
et la transposition à l’échelle humaine de ces gestes ?… On peut le penser.
L’invention serait due à MOUNG TIAN général sous l’Empereur SHI-HOANG-ti, dynastie des HAN, 200 ans avant J.C.
TSAI-LUN, Grand Eunuque protégé par l’Impératrice douairière, toujours sous la dynastie des HAN 105 ap. J.C., n’aurait fait que perfectionner et codifier la fabrication du papier. On utilise la cellulose tiré du mûrier, du bambou, et du chanvre (sous forme
de récupération de cordages de marine dessalés).
On peut voir encore aujourd’hui des ateliers familiaux et des musées vivant au Japon (Washi no Sato, Higashi Chichibu par exemple) perpétuent la tradition.
et une nouvelle commande grâce à mon site ! chouette !
C’est en tapant en mot clé « hérisson » sur Google images, que ma cliente est tombée sur mon site et sur la page « créations de mosaïques en extérieur ».
J’ai réalisé ce hérisson sur un filet et je vais lui expédier.
Elle le collera elle même sur son mur avec mes indications.
Grâce à une photo de l’endroit où elle pensait coller son hérisson, j’ai pu coordonner les couleurs pour qu’il s’intègre bien à l’ensemble.
Voici d’autres petits animaux en mosaïque que je réalise et que j’expédie dans toute la France.