Archives de catégorie : exposition et lieux artistiques à découvrir

Exposition des œuvres des élèves !

L’atelier Mimi Vermicelle expose pour la 1ère fois les œuvres de ses élèves enfants et adultes

du 8 au 24 mai 2018

Vitrines des halles de Savenay

9h-19h

Vous pourrez y admirer les réalisations  des enfants ( 6 -10 ans) des « mercredis créatifs »

les dessins des adolescents

les peintures et mosaïques des adultes


Suivez l’actualité de l’atelier sur la page facebook !

La Maison Picassiette à Chartres, un lieu à visiter !

Si vous passez à Chartres, arrêtez-vous absolument à la maison Picassiette! Une curiosité à découvrir !
Et pour les amateurs de mosaïque, c’est une visite indispensable !!

 La Maison Picassiette est l’œuvre de Raymond Isidore, né à Chartres le 8 septembre 1900.
 Issu d’un milieu défavorisé, Raymond Isidore s’installe dans une petite maison qu’il construit, dans le quartier de Saint-Chéron
 Quelques années après cette installation, lors d’une promenade, il ramasse des morceaux de verre et de porcelaine dont il fait une mosaïque pour décorer l’intérieur de sa demeure.

 Ce n’est quand 1938 qu’il commença son œuvre, en décorant l’intérieur de sa maison d’une certaine manière par hasard,comme il le dit lui-même : 
«J’ai d’abord construit ma maison pour nous abriter. La maison achevée, je me  promenais dans les champs quand  je vis par hasard des petits bouts de verre, débris de porcelaine, vaisselle cassée. Je les ramassais sans intention précise, pour leurs couleurs et leur scintillement. J’ai trié le bon, jeté le mauvais. Je les ai amoncelés dans un coin de mon jardin. Alors l’idée me vint d’en faire une mosaïque, pour décorer ma maison. Au début je n’envisageais qu’une décoration partielle, se limitant aux murs. »
 
Il poursuivit sa création seul durant les vingt-cinq années suivantes, recouvrant  non seulement les murs intérieurs mais aussi les sols, plafonds, objets et meubles présent à l’intérieur de sa maison. Puis il décora les murs extérieurs, la cour intérieure, construisit une chapelle ainsi qu’une maison d’été.
Il acheta également un bout de terrain adjacent pour en faire un jardin et le décora. Il finit avec la construction du tombeau bleu –le Tombeau de l’Esprit – qui  compléta son projet.
Son entreprise se termina en 1962, puis il décéda le 6 septembre 1964, la veille de son 64e anniversaire.
Pour ce qui est des éléments constituant ses mosaïques, il allait les récupérer dans les décharges alentours : verres multicolores brisés, éclats de vaisselles et de porcelaines,…

Journées du fait-main à l’atelier

 Instaurées en 2011 par le site A little Market avec le soutien de sa communauté de créateurs, l’événement « Les Journées du Fait Main«  est devenu le rendez-vous annuel incontournable dédié à la création et au savoir-faire français.

Depuis maintenant 6 ans, cet événement qui se déroule partout en France de manière simultanée offre aux créateurs de la communauté d’a little Market l’occasion d’organiser des expo-ventes, des ateliers créatifs ou encore des démonstrations de leur savoir-faire au sein même de leur région avec le soutien du site (guides, mises en relation entre créateurs organisateurs et créateurs exposants, communication, supports, goodies…).  

Ce qui en fait à la fois un événement local et national

Les objectifs : 

Valoriser la création et l’artisanat français

À travers une manifestation ayant à la fois, une envergure nationale mais aussi locale

Sensibiliser aux différents savoir-faire

En permettant aux visiteurs de découvrir des créations uniques et originales près de chez eux

Créer des échanges et des rencontres

Entre créateurs locaux afin d’encourager les initiatives et ainsi favoriser la création de liens

Les journées du fait-main à l’atelier, un événement festif !

A LITTLE MARKET.COM

Lancée en 2008 par Nicolas Cohen et Nicolas d’Audiffret, A little Market est la première plateforme française qui permet à des centaines de milliers d’artisans/créateurs français de vendre leurs créations 100% faites à la main. Le site propose ainsi aux acheteurs de trouver des millions de produits Made in Région en quelques clics.

A little Market, c’est surtout une communauté de créateurs passionnés et impliqués au quotidien dans la vie du site, proposant des créations dans plusieurs catégories : prêt-à-porter, bijoux, accessoires, déco et art (homme, femme, enfant, bébé).

Leur mission

Construire une économie plus humaine en aidant les « petits » créateurs locaux à développer leur activité en les connectant à leurs clients.
  Leurs objectifs

Valoriser les savoir-faire – Défendre l’entrepreneuriat.

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Donation de 600 œuvres au musée d’Orsay

Un couple de collectionneurs américains Spencer et Marlene Hays va donner son importante collection d’œuvres d’art dont des Bonnard et des Vuillard à la France,

Le couple Hays
« Cette donation exceptionnelle par sa taille et sa cohérence est la plus importante que les musées français aient reçue d’un donateur étranger depuis 1945 », a indiqué le ministère de la Culture.

Les œuvres rejoindront le musée d’Orsay au décès des collectionneurs. Le musée leur consacrera un espace dédié.La collection de Spencer et Marlene Hays comprend quelque 600 oeuvres de la seconde moitié du XIXème siècle et de la première moitié du XXème siècle.

Une collection inaliénable en France

Pourquoi faire dons de ces œuvres à la France plutôt qu’aux États-Unis ?

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Edouard Vuillard, Jardins publics

 » Il y a un règlement en France qui a certainement été déterminant : c’est l’inaliénabilité des collections de l’État, c’est-à-dire l’impossibilité de refondre les collections, contrairement aux musées américains qui eux peuvent se dessaisir de leurs œuvres et les revendre« , explique Isabelle Cahn, la conservatrice en chef du musée d’Orsay.

De fait, le couple a posé comme condition à sa donation que la collection, qui a sa cohérence, soit présentée dans un espace dédié. « Nous allons donc déménager la bibliothèque et la documentation du musée qui rejoindront sur 900 m2 environ un bâtiment annexe appartenant à l’Etat« , a déclaré Guy Cogeval, le président du musée d’Orsay qui connaît le couple  depuis 2001.

Des autodidactes amoureux de Paris

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Edouard Vuillard, femmes assises dans une pièce

D’origine texane, le riche homme d’affaires et son épouse sont des autodidactes, amoureux de Paris et de la peinture française de la fin du XIXe et du début XXe.

En plus de trente ans, ils ont bâti une collection autour, notamment, des peintres nabis qu’ils avaient dévoilée en 2013 au musée d’Orsay dans le cadre d’une exposition. Les 187 œuvres (peintures, papiers, sculptures) données samedi sont celles qui étaient exposées à cette occasion: 23 Vuillard, 12 Bonnard, 4 Maurice Denis. Outre les nabis, il y a aussi des œuvres d’Odilon Redon, Edgar Degas, Gustave Caillebotte, Camille Corot, Aristide Maillol, Amedeo Modigliani, Albert Marquet…

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L’évolution du papier du XIXème à nos jours

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Louis Nicolas Robert

C’est incontestablement au XIXème que la fabrication du papier s’industrialise avec l’invention de la première machine à papier en continu de Louis Nicolas Robert (1761- 1828). L’alimentation en pâte est alors faite en continu et le papier sort en bobine. Afficher l'image d'origineEn moins de vingt-cinq ans, l’ingénieur Bryan Donkin perfectionne « sa » machine (pas moins de 40 modèles différents). Vers 1825, les papetiers s’équipent en Europe et aux États-Unis : la machine est copiée, imitée.

Vers 1850 apparaît la première machine à fabriquer le carton multicouches. À la même époque, on dénombre plus de 300 machines en Angleterre, près de 250 en France et presque autant en Allemagne. Chacun de ces engins, quoique très étroit et très lent comparé aux machines modernes, était capable d’assurer la production de dix cuves traditionnelles desservies à la main.

La première machine à onduler française est installée en 1888 dans le Limousin. La marine à voile, grosse utilisatrice de chanvre (cordages et voiles) est remplacée progressivement par la marine à vapeur. La production de chanvre ralentit et celui-ci devient rare et cher.

Des difficultés d’approvisionnement en chiffon se font sentir et l’industrie cherche de nouvelles matières premières.

Le bois commence progressivement à remplacer le chanvre.

L’Allemand Friedrich Gottlob Keller dépose un brevet en 1844 sur la fabrication de pâte de bois, obtenue à l’aide d’une meule.

La deuxième moitié du XIXe siècle est marquée par le recours à la chimie.

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Anselme Payen

Les travaux du Français Anselme Payen montrent que dans toute matière végétale existe une substance blanche et fibreuse, la cellulose, et qu’il est possible de la récupérer par des réactions chimiques. Ces découvertes permettent d’obtenir des fibres de meilleure qualité et donc d’augmenter les vitesses de production.

En 1937, aux États-Unis, le Marihuana Tax Act, une taxe pour lutter contre la production de drogue à partir du cannabis, sonne le glas du chanvre en papeterie. Il ne sera alors plus utilisé que pour les billets et le papier à cigarette. Les États-Unis deviendront rapidement le premier producteur de papier, majoritairement forestier, et le sont encore de nos jours, largement devant la Chine, le second (80,8 contre 37,9 millions de tonnes). L’industrialisation lourde est alors lancée. En 1908, la plus grosse machine a une laize (largeur) de 4,30 mètres et roule à 165 m/min. En 1910 la vitesse de 200 m/min est franchie. En 1935, la plus grosse machine fait 8,15 m de laize et tourne à 425 m/min. Le cap des 1 000 m/min est franchi en 1958. En 2000, la vitesse de 1 800 m/min est atteinte pour la fabrication du papier journal. Actuellement, les machines font jusqu’à 10 mètres de laize et tournent à près de 2 000 m/min.

XXIe siècle

Au début du XXIe siècle, les problèmes écologiques, liés à la déforestation, à des problèmes quantitatifs et qualitatifs de gestion de l’eau et à la raréfaction de nombreuses ressources, poussent au retour au-devant de la scène des méthodes de recyclage ainsi qu’au retour progressif de la production de plantes à fibres à pousse rapide et écologique comme le chanvre ou le lin.

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Source du papier : le bois des forêts

Le papier des livres était fabriqué traditionnellement à partir de bois de trituration issu de feuillus et de résineux. Ce bois pouvait provenir de coupes d’éclaircies faites dans la forêt, ou de déchets de scierie.

Mais la quantité de fibres produites n’est actuellement plus suffisante pour répondre à la demande croissante de papier et des forêts primaires sont détruites au Brésil, en Chine, en Indonésie pour être remplacées par des plantations d’eucalyptus, une essence à croissance rapide, fournissant un papier de qualité pour l’édition. Avec elles, ce sont de nombreuses espèces végétales et animales qui disparaissent : l’orang outang, l’éléphant, le rhinocéros et le tigre de Sumatra en Asie du Sud-Est…

 

 

 

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Space Invader et la mosaïque

Space Invaders est à l’origine un jeu vidéo développé sur borne d’arcade par la firme japonaise Taito en 1978.
Il est célèbre dans l’histoire du jeu vidéo.
Le principe est de détruire des vagues d’aliens au moyen d’un canon laser en se déplaçant horizontalement sur l’écran.
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Mais quel rapport avec la mosaïque me direz-vous ?

Vous avez certainement aperçu un jour, au gré de vos promenades une de ces mosaïques…
Moi-même j’en ai découvert une sur mon trajet quotidien !

Le mieux est de laisser parler « Invader« , l’artiste créateur de ces mosaïques, en inspiration, bien sûr du célèbre jeu vidéo.

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Qui êtes-vous, Invader ? D’où venez vous ?

Je me définis comme un AVNI, un Artiste Vivant Non Identifié, j’ai pris Invader pour pseudonyme et j’apparais toujours masqué. Je peux ainsi me rendre à mes propres expositions sans que les visiteurs ne soupçonnent mon identité ou ne remarquent ma présence même lorsque je me tiens à leurs cotés! Depuis 1998 j’ai dévelopé un projet de grande envergure qui répond au nom de code : Space Invaders.
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En quoi consiste le projet Space Invaders ?

Il consiste tout d’abord à libérer l’Art de ses carcans que sont les musées et les institutions. Mais il s’agit aussi de libérer les Space Invaders de leurs écrans de jeux vidéo pour les amener dans notre propre réalité. Tout a commencé le jour où j’ai voulu donner corps au pixel en le remplaçant par des carreaux de mosaïques. L’idée de départ était de réaliser une série de « tableaux » mais j’ai rapidement réalisé qu’il s’agissait d’un matériau idéal à poser directement sur un mur. J’ai alors eu l’idée de déployer mes créations sur les murs de Paris puis des villes du monde entier. Chacune de ces pièces devient le fragment d’une œuvre monumentale.

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Quelle est votre stratégie d’invasion ?
Quelles sont les règles du jeu ?

J’ai peu à peu mis en place un système consistant à me rendre dans les capitales du monde pour les « envahir ». J’essaie en général de placer entre 20 et 50 pièces par ville, ce qui commence à être un bon score. Parfois, je me rends à plusieurs reprises dans une même ville, mettant ainsi en place différentes « vagues d’invasions » comme je les appelle. Le but, c’est d’augmenter mon score, et de poursuivre mes «invasions» inlassablement, partout et tout le temps… Pour ce faire, je n’ai pas de stratégie préétablie,mais je m’efforce d’évoluer et de me renouveler sans cesse, de garder une part d’inventivité dans ce très sérieux projet d’invasion artistique.

Est-ce de l’Art ? Un jeu ? des Graffitis ?Du Street Art ?

C’est tout cela à la fois, et bien d’autres choses encore.
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Combien de personnes sont impliquées dans ce projet ?

Je me suis constitué une mini équipe qui m’aide à l’atelier mais cela reste très confidentiel. Même si c’est difficile à croire vu son ampleur, le projet « space invader » est le projet d’un seul artiste.
Il existe d’autres personnes à Paris ou ailleurs qui se sont mis à leur tour à poser des mosaïques dans les rues de leur ville. Ces initiatives sont tout à fait indépendantes de ma volonté mais il est agréable de constater que, d’une certaine manière, j’ai fait école.

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Pourquoi avoir choisi les Space Invaders comme figure centrale de ce projet ?

Parce qu’il s’agit à mes yeux de l’icône parfaite pour symboliser notre époque qui, avec les technologies numériques, vient de franchir un cap. De plus, le fait que ces créatures soient pixellisées font qu’elles sont faciles à reproduire en carrelage. Et puis leur nom était vraisemblablement prédestiné pour le projet que je me suis fixé: ce sont littéralement des « envahisseurs d’espace » !

 

Taito, le détenteur des droits sur le jeu vidéo « Space Invaders » n’a-t-il rien tenté contre vous ?

Il s’est manifesté à quelques reprises mais sans vraiment me causer de soucis. D’une certaine manière, je travaille dans leur sens, plutôt avec eux que contre eux. Ceci dit, j’ai commencé à m’inspirer des véritables « Space Invaders » et d’une poignée d’autres jeux vidéo, pour rapidement me détacher de ces modèles en les transformant et en les faisant évoluer. Je me suis donc éloigné des quatre figures originales de Taito pour créer mes propres créatures. Par ailleurs, mon univers artistique est nourri de nombreuses autres références qui sont venues s’ajouter à ce répertoire. Par exemple, j’ai récemment réalisé une panthère rose, une Joconde ou un Peter Pan. Mon œuvre est truffée de ce genre d’apparitions.
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Comment choisissez-vous les emplacements de vos mosaïques?

C’est un élément essentiel du processus qui est totalement subjectif, il s’agit pour moi de trouver les points névralgiques des villes que je parcours. Cela prend beaucoup de temps, c’est un long travail de repérage. Je compare souvent cela une acupuncture urbaine.
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Comment opérez-vous une fois dans la rue ? Les plaques de mosaïques sont-elles préparées à l’avance et prêtes à coller ?

Cela dépend, j’ai développé toutes sortes de techniques qui me permettent de m’adapter aux différentes situations comme la fréquentation du lieu, l’heure de l’invasion, la taille de la pièce, la hauteur de son emplacement… etc. L’idée étant d’être le plus rapide et le plus discret possible.
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Mosaïques étonnantes en coquillages sur l’île Penotte aux Sables d’Olonne

Les amateurs de mosaïque ont plusieurs lieux à découvrir en France, et notamment aux Sable d’Olonne en Vendée…

http://maitrerenardinfo.files.wordpress.com/2014/03/rue-des-bains2.jpg
Quartier de l’île Penotte

L’Ile Penotte n’est pas une île, mais un joli quartier entre port et plage, dans le centre-ville des Sables d’Olonne.
 
Les murs des maisons, les frontons, les soubassements sont décorés de mosaïques constituées de coquillages multicolores.

Ces réalisations sont l’œuvre de l’artiste Danièle Arnaud-Aubin, qui a commencé en 1997.

Ce qui étonne au 1er abord est la signalétique : en effet, autour des plaques des rues, s’épanouissent des fleurs, courent des rats, ou veillent des chouettes de coquillages.

Ces mosaïques sont composées avec des coquillages du coin : bulots et bigorneaux, huîtres, palourdes, coquilles Saint-Jacques, moules mais aussi des coquillages exotiques, comme des nacres ramenées de lointains voyages. 

La municipalité heureuse de cet engouement pour ce quartier oublié, a accepté en plus des fresques murales la décoration de plaques de rues.
Les portes et leurs encadrements ne sont pas en reste dans l’originalité et la décoration.
Leurs encadrements, leurs numéros, leurs linteaux, sont tous décorés de motifs décoratifs
Coquilles Saint-Jacques ou de Tahiti, modestes coquillages de nos côtes, ou prestigieux cousins d’outre-mer, tous, rivalisent à l’ornementation du quartier !

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Moulin à papier Richard de Bas à Ambert (15)

Dans un site, dont certains bâtiments

moulin en activité fabriquant à la main des feuilles de papier en auvergne
Façade du moulin

remontent au XVème siècle, venez découvrir le dernier témoin de ce que fut le berceau de la papeterie en France

 

Le moulin Richard de Bas est encore en activité, la feuille de papier y naît sous vos yeux comme aux 1ers temps de cette industrie…

Il produit encore quelques 200 feuilles à papier à la main par jour. Il s’adapte en fonction des saisons.

En hiver, il fabrique du papier blanc, couleurs et chinés et aquarelles.

Lors qu’arrive l’été et que les jardins du moulin sont fleuris, la feuille blanche s’incline pour laisser place à la fabrication de papier à inclusions florales et des compositions florales hautes en couleurs  et en diversité.

 

Atelier enfant de fabrication artisanale d’une feuille

 Le moulin dispose de plusieurs jardins à découvrir lors de la visite, pour s’approvisionner en pétales frais le matin même de leur utilisation.

La production n’excède pas une dizaine de feuilles par jour tant elle exige minutie et délicatesse.

Le papier blanc sert de nos jours à restaurer des ouvrages anciens, à l’édition de livres d’artiste à tirage limité.

Mise de la feuille sous presse

 Les papiers pour beaux-arts sont très prisés des artistes amateurs et professionnels.

 

Le papier à fleurs permet l’impression de faire part, menus et poèmes.

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Enseigne d’un coiffeur en mosaïque à Valence en Espagne

Découverte d’une mosaïque originale avec tesselles de miroir à Valence en Espagne

apprentissage toutes techniques mosaique moderne contemporaine romaine mélange matériaux cours severine peugniez mosaiste professionnelle
Enseigne d’un salon de coiffure à Valence (Espagne)  

Pendant les vacances de février, nous sommes partis visiter Valence en Espagne et avons eu le plaisir de découvrir au détour d’une rue cette belle mosaïque, enseigne d’un coiffeur, un panneau mural décoratif riches de détails et finement exécutée.

Des tesselles de miroir rehaussent l’ensemble et proposent de beaux reflets…
Je voulais vous en faire profiter !!

Si vous passez par là …

Valence est une ville très agréable à visiter riches de contrastes entre passé et futur.
Je me suis régalée à déambuler dans les rues de la vieille ville et à découvrir des bâtiments de tout style, circuler en vélo sur la voie verte (ancien lit d’une rivière) longue de plusieurs kilomètres jusqu’au quartier futuriste de la cité des Arts et Sciences.

Cité des Arts et sciences

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Exposition à l’Epicerie d’art à Bouée

J’ai exposé mes dernières créations à l’Epicerie d’art à Bouée (44)

Venez découvrir un endroit charmant dans un petit village près de Savenay, l’épicerie d’art à Bouée en Loire Atlantique.

Un ancien grenier à foin a été restauré et reconverti en lieu d’exposition. Il est ouvert de mai à septembre et la programmation change tous les mois pour des expositions éclectiques et collectives.

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Villa cheminée à Cordemais

Il est inscrit sur le parcours estuaire, un parcours d’art contemporain proposé pour une découverte d’œuvres et de lieux depuis la rive nord de la Loire en passant par Nantes, Saint-Nazaire, Saint Brévin les Pins, jusqu’à la rive sud.

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Serpent d’océan, plage de Saint Brévin

Du 5 au 26 juin, une soixantaine d’œuvres a été présentée dans des styles et techniques variés.

Adrien Coiffet présente des natures mortes et des paysages de la région à l’huile sur papier
Albert Derriennic, des abstraits à l’acrylique très colorés sur toile et plexiglas
Nelly Larue, des portraits et paysages à l’huile inspirés de ses voyages
Michel Macé, des sculptures ans différentes essences de bois de la région et un brun humoristiques
Séverine Peugniez, des créations mêlant peinture acrylique, bois flotté, mosaïque et céramique présentant un univers poétique des oiseaux et autres animaux
An So Van Nuvel, des aqua’mixtes, des dessins imaginaires et fantastiques à l’aquarelle, acrylique et encre

Merci à ceux qui sont venus, nombreux, découvrir  mes dernières œuvres mêlant acrylique, fond texturé et collage de papiers…

Venez découvrir la programmation du mois de juillet  !

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Mes dernières créations, peinture et collage de papiers
atelier mimi vermicelle cours peinture mosaique dessin stages savenay loire atlantique par artiste professionnel severine peugniez

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